Cette manifestation était organisée au profit des "Restos du coeur".
Il n'y avait pas beaucoup de monde en ville le matin, il faisait froid, il avait neigé et les gents devaient être restés dans leur lit douillet ou allés au marché, bref, la vente de crêpes était au plus bas au grand désarroi de notre trésorier qui régulièrement soupesait la caisse pour savoir si nous allions rentrés dans nos frais.A midi nous avions du vendre 20 crêpes et le stock de produits finis n'étaient pas en relation avec le marché.
L'apéro, heureusement, était prévu pour réchauffer les coeurs et les corps. L'affluence de la clientèle nous incita à faire un breack, qui nous conduisit en deux groupes successifs au Louis II ou nous emmagasinassent quelques calories pour l'après midi, la permanence étant bien sur ainsi assurée.
Au retour notre trésorier soupesa à nouveau la caisse , et l'on pu remarquer une moue significative qui le conduit à vérifier le contenu; la moue lui étira encore plus le visage.
Mais rien n'était encore perdu! le réchauffement climatique allait nous sauver. A partir de 15 heures les rues commençaient à connaître l'agitation habituelle d'un samedi, disons normal; et puis quand il fait froid les calories du déjeuner se dissipent plus rapidement.Le commerce commença à reprendre.
Notre spécialiste, au geste digne des plus grands maîtres queux bretons, qui étalait la pâte d'un geste sur, en un tournemain n'arrivait plus à fournir même si le taylorisme de la fabrication des crêpes "mixtes", oui les dames avaient aussi mis la main à la pâte,n'arrivait plus à suivre. Le stock se réduisit rapidement pour atteindre le zéro que souhaitent beaucoup d'entreprises. Le trésorier avait retrouvé sa joie de vivre, même si une nouvelle inquiétude se mit à planer;. Y aurait il assez de pâte pour satisfaire la clientèle? Ah que la vie de trésorier est angoissante!!! En plus les clients, voire les clientes, se mettaient à demander des crêpes au grand Marnier, une bouteille qu'on gardait précieusement fermée, décidément tout s'en mêlait, et s'emmêlait.
On fit donc de la pâte, sous les yeux des passants étonnés de voir une telle énergie à les satisfaire, ce qui permit de terminer la soirée et de consolider notre notoriété.
A 18heures 30, les rues étaient vides, il n'y avait plus de crêpes, plus de pâte; il était temps de ranger.
Une journée dont on gardera un bon souvenir, nombreux étaient les membres du club à être venus, 22 si je ne me trompe plus les épouse que nous tenons particulièrement à remercier. Un bon entrainement pour notre prochaine grande manifestation , la brocante du 28 mars; il nous faudra battre ce record de présence.
Merci Henri, mais pourquoi c'est Rosette qui a emporté la caisse????
Didier tu vois ce qui t'attend???
http://kolvinter.jalbum.net/2010_02_20%20crepes/
Il n'y avait pas beaucoup de monde en ville le matin, il faisait froid, il avait neigé et les gents devaient être restés dans leur lit douillet ou allés au marché, bref, la vente de crêpes était au plus bas au grand désarroi de notre trésorier qui régulièrement soupesait la caisse pour savoir si nous allions rentrés dans nos frais.A midi nous avions du vendre 20 crêpes et le stock de produits finis n'étaient pas en relation avec le marché.
L'apéro, heureusement, était prévu pour réchauffer les coeurs et les corps. L'affluence de la clientèle nous incita à faire un breack, qui nous conduisit en deux groupes successifs au Louis II ou nous emmagasinassent quelques calories pour l'après midi, la permanence étant bien sur ainsi assurée.
Au retour notre trésorier soupesa à nouveau la caisse , et l'on pu remarquer une moue significative qui le conduit à vérifier le contenu; la moue lui étira encore plus le visage.
Mais rien n'était encore perdu! le réchauffement climatique allait nous sauver. A partir de 15 heures les rues commençaient à connaître l'agitation habituelle d'un samedi, disons normal; et puis quand il fait froid les calories du déjeuner se dissipent plus rapidement.Le commerce commença à reprendre.
Notre spécialiste, au geste digne des plus grands maîtres queux bretons, qui étalait la pâte d'un geste sur, en un tournemain n'arrivait plus à fournir même si le taylorisme de la fabrication des crêpes "mixtes", oui les dames avaient aussi mis la main à la pâte,n'arrivait plus à suivre. Le stock se réduisit rapidement pour atteindre le zéro que souhaitent beaucoup d'entreprises. Le trésorier avait retrouvé sa joie de vivre, même si une nouvelle inquiétude se mit à planer;. Y aurait il assez de pâte pour satisfaire la clientèle? Ah que la vie de trésorier est angoissante!!! En plus les clients, voire les clientes, se mettaient à demander des crêpes au grand Marnier, une bouteille qu'on gardait précieusement fermée, décidément tout s'en mêlait, et s'emmêlait.
On fit donc de la pâte, sous les yeux des passants étonnés de voir une telle énergie à les satisfaire, ce qui permit de terminer la soirée et de consolider notre notoriété.
A 18heures 30, les rues étaient vides, il n'y avait plus de crêpes, plus de pâte; il était temps de ranger.
Une journée dont on gardera un bon souvenir, nombreux étaient les membres du club à être venus, 22 si je ne me trompe plus les épouse que nous tenons particulièrement à remercier. Un bon entrainement pour notre prochaine grande manifestation , la brocante du 28 mars; il nous faudra battre ce record de présence.
Merci Henri, mais pourquoi c'est Rosette qui a emporté la caisse????
Didier tu vois ce qui t'attend???
http://kolvinter.jalbum.net/2010_02_20%20crepes/
